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L’inclusion en ADE connaît des avancées depuis une vingtaine d’années, avec la convention Belorgey, puis le dispositif Aeras et dernièrement la loi Lemoine. Les acteurs du marché sont également de plus en plus nombreux à vouloir d’avantage ouvrir l’accès à l’assurance de prêt aux personnes malades, vulnérables ou en situation de handicap.

Stéphane Soudeix, Président de Kereis France, précise d’ailleurs, dans le dossier de l’Argus de l’Assurance, consacré au sujet, que 92 % des assurés du portefeuille Kereis bénéficient d’une proposition sans surprime ni exclusion.

L’article révèle également que les initiatives des assureurs se développent pour exonérer les emprunteurs des formalités médicales ou encore élargir l’assurance aux victimes de cancer du sein. Cependant, cette avancée vers plus d’inclusion reste souvent le privilège des grands acteurs du secteur, disposant de ressources conséquentes.

Malgré les progrès, il reste des défis à relever, notamment en raison de la concurrence sur le marché de l’assurance emprunteur et des débats sur la mutualisation des risques.
L’accélération de l’IA et du machine learning devraient aussi permettre une accélération de l’inclusion, grâce à des avancées majeures sur l’analyse des données et sur la formation des sinistres.

Pour Stéphane Soudeix : « Dire qu’on peut aller plus vite et plus loin dans l’inclusion nécessite de se fixer un objectif pour que l’emprunteur demeure une assurance avec une sélection médicale, dont l’économie générale est à la main des acteurs du marché, faute de devenir une assurance sociale, avec un coût et des garanties standardisées.» 

Kereis France est à l’avant-garde de cette transformation pour, avec ses partenaires, ouvrir la voie de l’assurance de demain.  

L’article est à lire dans son intégralité sur : Assurance emprunteur : la marche vers l’inclusion (argusdelassurance.com)